Associé-e

Roy Culpeper

Expertise: Développement international, Inégalité économique, Mondialisation

Roy Culpeper occupe le poste de chargé de recherche principal à l’École de développement international et de mondialisation de l’Université d’Ottawa, de professeur adjoint à la Norman Peterson School of International Affairs, de l’Université de Carleton. Il est également chargé de recherche à l’Institut Broadbent. Il est à la tête du Groupe des 78 et président fondateur de CELADA, la Coalition for Equitable land Acquisitions and Development in Africa (NDT : coalition en faveur de l’acquisition équitable de terres et du développement en Afrique). De janvier à mai 2011, alors qu’il était titulaire d’une chaire de recherche de Fullbright Canada, il a été invité à collaborer à la chaire de recherche du Woodrow Wilson International Center for Scholars, à Washington. Auparavant, il était président directeur général de l’Institut Nord-Sud à Ottawa. Aux débuts de sa carrière, il a été fonctionnaire à la Banque Mondiale, à Washington, aux ministères des Finances et d’Affaires étrangères à Ottawa, et au Secrétariat de planification du gouvernement du Manitoba, à Winnipeg.

Roy Culpeper a obtenu un doctorat en Économie de l’Université de Toronto. Il est l’auteur de nombreuses publications portant sur les enjeux du développement international, de la finance et de gouvernance mondiale.

Les postes et activités de Roy Culpeper


  • Roy Culpeper: inégalité et libéralisation économique

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    L’augmentation de l’inégalité est un phénomène qui affecte plusieurs pays depuis les années 80, autant les pays industriels que ceux en voie de développement et les marchés émergents. De plus, certains pays sont devenus plus inégalitaires que d’autres. Ainsi, il est important de distinguer les facteurs qui sont entrés en jeu de façon universelle de ceux qui ont servi à retarder ou accentuer l’inégalité au niveau national. Cette dernière catégorie comprend, entre autres, les transferts de revenus, les régimes d’imposition progressistes et les politiques s’appliquant au marché de travail qui visent la création d’emploi bien rémunéré et le plein emploi. Néanmoins, le présent traitera de la première catégorie de facteurs : les facteurs universels.

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